DE QUOI S’AGIT-IL ?

Les troubles cognitifs englobent un ensemble de symptômes qui peuvent affecter la mémoire, l’attention, la rapidité d’exécution, l’adaptation aux nouvelles situations ou lieux, le langage, la perception, la communication, etc.
En vieillissant, il est normal de connaître une diminution de ses performances mais sans que celle-ci n’affecte la vie quotidienne, ni le bien-être. Si la personne est gênée par un trouble, s’ils sont multiples ou que les symptômes sont sévères, ils doivent faire l’objet d’une prise en charge médicale.

QUELS SONT LES SIGNES DE CES TROUBLES ?

Avec l’augmentation du nombre de personnes atteintes de maladies neuro-dégénératives, l’attention est souvent focalisée sur les troubles de la mémoire, laissant craindre un début de maladie.Or parfois, c’est une dépression qui est à l’origine du trouble de la mémoire et le médecin peut tout à fait prescrire un traitement approprié qui supprimera ces symptômes.

Le déclin des facultés intellectuelles peut s’accentuer avec l’âge. Il est courant, par exemple, d’avoir des difficultés à se souvenir d’un évènement ou de ralentir le rythme. Il s’avère plus gênant de répéter la même phrase pendant un après-midi ou de ne pas se rappeler de l’année, du mois et du jour que nous sommes.

Nous vous recommandons vivement de consulter votre médecin traitant si vous avez le moindre doute. N’attendez pas ! Il vous connaît, connaît votre histoire et saura vous proposer une prise en charge adaptée, certains de ces troubles étant réversibles.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

La meilleure des solutions à ce jour est d’adopter une hygiène de vie saine, de faire de l’exercice physique et de stimuler sa mémoire.
Certains traitements limitent l’aggravation des troubles cognitifs mais ne permettent pas d’en guérir.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

La maladie de Parkinson est une affection chronique neuro-dégénérative du système nerveux central et évolue lentement. En France, elle touche environ 100 000 personnes avec 8 000 nouveaux cas chaque année*. Plus particulièrement présente chez les personnes âgées de plus de 60 ans, le pic est autour de 70 ans. Elle se déclare 5 à 10 ans après l’apparition des premiers symptômes. Sans causes précises connues à ce jour, la recherche étudie l’interaction possible entre gènes et environnement.

 

QUELS SONT LES SIGNES DE LA MALADIE ?

Trois manifestations principales : des mouvements lents et saccadés, une raideur musculaire et le tremblement au repos pour la majorité des personnes. A noter qu’un malade sur quatre ne tremble pas. D’autres troubles peuvent survenir comme des difficultés de déglutition, fluctuations motrices, dépression, troubles cognitifs. A terme, la personne peut devenir dépendante et nécessiter une aide à domicile ou un accueil dans un établissement spécialisé.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

Les traitements médicamenteux apportent une nette amélioration des symptômes (parfois dès le début de la prise) mais ne permettent pas la guérison. D’autres traitements participent à l’amélioration de la vie quotidienne et ralentissent la progression de la maladie : hygiène de vie, kinésithérapie, psychothérapie…

Les médecins évaluent le meilleur risque/bénéfice d’un traitement avant de le prescrire, l’important étant de retarder le plus possible la survenue des complications motrices.

Les médicaments doivent être pris très régulièrement pour être efficaces et ont parfois des effets secondaires non négligeables (nausées, hypotension, arythmie cardiaque, hallucinations…).

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Nous ne connaissons pas toujours bien la maladie d’Alzheimerque nous confondons parfois avec la sénilité ou une évolution qui serait essentiellement liée à l’âge.
Aujourd’hui en France, on compte 880 000 personnes atteintes de la maladie et ce chiffre pourrait atteindre les 1,3 million de personnes en 2020, avec les problèmes de dépendance que cela entraîne. C’est ce qui en fait la maladie neuro-dégénérative la plus fréquente et la plus redoutée également.

QUELS SONT LES SIGNES DE LA MALADIE ?

Le malade change de comportement et a des attitudes étranges. La perte de la mémoire à court terme peut entraîner une mise en danger et rendre difficile la gestion du quotidien. A terme, il peut être désorienté, ne plus reconnaître certains objets, les visages, rencontrer des difficultés de compréhension voire d’expression.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

S’il n’est pas possible aujourd’hui de guérir de la maladie d’Alzheimer, la médecine progresse à grands pas et une prise en charge précoce permet d’atténuer sa progression, d’en limiter les symptômes et d’améliorer le confort de vie du malade et de son entourage. Il est également possible de s’organiser pour anticiper une future dépendance, par exemple en souscrivant une assurance dépendance.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Contrairement aux idées reçues, l’incontinence ou les fuites urinaires ne sont pas une pathologie réservée au 3e et 4e âge loin s’en faut (3 millions de français sont concernés*), mais il est vrai que l’âge accentue les risques. Les femmes sont particulièrement exposées et plus touchées que les hommes en raison de leur morphologie, des grossesses et de la ménopause.
Sujet tabou qui pose un vrai problème de qualité de vie, l’incontinence fécale est plus rare et majoritairement le fait du grand âge, touchant particulièrement les personnes âgées vivant en EHPAD.

L’INCONTINENCE REVÊT DIFFÉRENTES FORMES

L’incontinence d’effort (toux, éternuements, effort physique) liée à une insuffisance du sphincter qui provoque une fuite involontaire d’urine.
L’incontinence liée à une vessie distendue.
L’incontinence par impériosité (ou hyperactivité vésicale) caractérisée par une fuite involontaire d’urine, avec le besoin irrépressible d’uriner qui empêche de se retenir.
Elle peut également être due à des troubles neurologiques provoqués par un AVC, la maladie d’Alzheimer, de Parkinson…

QUELS SONT LES SIGNES ?

Plusieurs signes peuvent éveiller l’attention, comme l’augmentation de la fréquence des mictions, même si cela reste parfaitement indolore et l’impossibilité de se retenir…

Il suffit d’en parler à son médecin généraliste car il existe de nombreuses solutions pour soulager, voire pour supprimer les symptômes. Il effectuera un bilan et prescrira d’éventuels examens complémentaires.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

Oui, et c’est la bonne nouvelle !
Il existe bon nombre de traitements adaptés aux symptômes : prise de médicaments, rééducation périnéale, électrostimulation, biofeedback et lorsque les traitements ne donnent rien, il est possible d’envisager une chirurgie adaptée à chaque cas.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Les rhumatismes sont le nom générique pour désigner l’ensemble des maladies inflammatoires qui touchent les os et les articulations, les muscles et les tendons : l’arthrose et l’ostéoporose en font partie. Comprendre les facteurs de risque de la maladie est crucial pour la prévention.

L’arthrose est une maladie des articulations, c’est-à-dire des zones de contact entre les os, dont le cartilage assure la protection. Il existe deux types d’arthrose :l’une est héréditaire et provient d’une maladie du cartilage, l’autre, dite « arthrose secondaire », est une usure de celui-ci.
L’ostéoporose « os poreux » est une maladie qui touche en grande majorité les femmes, à partir de la ménopause : la densité osseuse diminue et le tissu osseux même est altéré.

QUELS SONT LES SIGNES ?

L’arthrose se reconnaît aux douleurs articulaires provoquées par une activité soutenue et au phénomène de raideur aggravé après une période d’inactivité. Un examen radiologique suffit à confirmer le diagnostic.
L’ostéoporose est une maladie sans symptômes, qui se découvre le plus souvent soit parce que vous faites partie des personnes « à risque » ou que vous avez eu une fracture du poignet ou des vertèbres avec une perte de taille et que votre médecin effectue un dépistage et une ostéodensitométrie. Identifier les facteurs de risque de la maladie permet une détection précoce.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

En fonction du type d’arthrose et du stade d’avancement de la maladie, les traitements peuvent comprendre des antalgiques, des anti-inflammatoires, infiltrations mais également des anti-arthrosiques d’action lente, des exercices adaptés, de la kinésithérapie, des orthèses. Le thermalisme améliore également la mobilité. Dans certains cas, il faudra recourir à la chirurgie pour poser une prothèse de la hanche ou du genou par exemple.
L’ostéoporose demande une prise en charge globale : arrêt de la cigarette, supplémentation en vitamines D et/ou calcium si nécessaire, modification de l’alimentation pour favoriser la préservation du capital osseux et des muscles (apport suffisant en protéines, produits laitiers, eaux riches en calcium, poissons gras, jaune d’œuf…), augmentation de l’activité physique et prévention des chutes. La connaissance des facteurs de risque de la maladie est essentielle pour un traitement efficace.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

« Les maladies cardiovasculaires constituent un ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins »*: malformations congénitales, hypertension artérielle, problème de valves, arythmie, maladies coronaires ou vasculaires cérébrales…

Si une personne sur 4 de plus de 65 ans décède d’une maladie cardio-vasculaire, on note de nets progrès dans la prise en charge des accidents (rapidité d’intervention) et la prévention notamment grâce aux avancées de la recherche et de la chirurgie.

Dans le cas d’un accident vasculaire cérébral (AVC), il arrive que les séquelles soient irréversibles et entraînent une forme de dépendance plus ou moins sévère. Il en est de même si un problème cardio-vasculaire vient s’ajouter à un état général déjà fragile.

QUELS SONT LES SIGNES DES MALADIES CARDIO-VASCULAIRES ?

Les signes ou symptômes sont assez rares, ce sont malheureusement les accidents de type infarctus et AVC qui donnent l’alerte d’une maladie liée au cœur.
Cependant, les signes suivant requièrent une attention particulière :

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

Une insuffisance cardiaque appelle des examens, un traitement et/ou parfois une intervention chirurgicale qui dépend de chaque pathologie. Il est important d’être suivi régulièrement par son médecin traitant et/ou un cardiologue.

Dans tous les cas, il faut surveiller son alimentation, maintenir un bon niveau d’activité physique et si ce n’est pas déjà fait, penser à arrêter la cigarette. N’oubliez pas que votre cœur est votre atout majeur.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Avec l’âge, vers 55 ans pour les hommes, 65 ans pour les femmes*, l’audition diminue lentement et progressivement, certains sons devenant plus difficiles à entendre, notamment les sons aigus.

La presbyacousie, cette diminution de l’audition avec l’âge, est tout à fait comparable à la presbytie qui nous oblige à porter des lunettes pour lire.
Elle n’est pas uniquement due au vieillissement, mais également liée à l’exposition au bruit pendant toute la vie, la prise de médicaments toxiques pour l’oreille et à certaines pathologies.

La diminution des capacités auditives s’installe lentement, elle est donc difficile à repérer d’une part et difficile à accepter d’autre part. Bon nombre de personnes ne consultent pas d’Oto-Rhino-Laryngologiste (38 % des français ne consultent jamais un ORL*) et laissent la situation se dégrader au point d’être gênés dans leur vie quotidienne.

Or, plusieurs études établissent une corrélation entre perte auditive et altération des fonctions cognitives. « Les personnes âgées souffrant de perte auditive ont une accélération du déclin cognitif de 30 à 40 % » indique le Professeur Patrice Tran Ba Huy, chirurgien, chef du service ORL de l’hôpital Lariboisière (Paris). En effet, le cerveau percevant moins d’informations, il travaille moins et s’organise autour d’un univers sonore plus restreint qui devient de moins en moins apte à traiter les informations.

QUELS SONT LES SIGNES DES TROUBLES AUDITIFS ?

Au début, il est parfois difficile de suivre une conversation ou de comprendre la parole lorsque l’environnement est bruyant : repas professionnel, fête de famille, ambiance musicale ou lorsque la personne n’est pas en face ou à proximité de celui qui parle. Le son de la télévision est augmenté, on fait répéter.

Puis, des symptômes plus gênants peuvent survenir comme un certain renoncement, un mécanisme de méfiance, de l’agressivité, l’abandon des activités et de la vie en groupe, de la tv, de la radio… Le cerveau travaille moins, le vieillissement s’accélère.

QUELLES SONT LES SOLUTIONS ?

Dès apparition de troubles de l’audition, même légers, il est conseillé de consulter un médecin. Plus un trouble auditif est pris en charge tôt, plus sa correction sera aisée et efficace.

1. Consulter son médecin traitant afin qu’il adresse à un spécialiste.

2. Le médecin ORL établira un diagnostic et jugera de la nécessité du port d’un appareil auditif.

3. L’audioprothésiste est le seul habilité à procéder à l’appareillage : il ne s’agit pas uniquement d’une compensation physique, la correction auditive demande une adaptation et un suivi du patient pendant toute la durée de port de l’appareil auditif. Il conseille et oriente en fonction des besoins, de la perte auditive, des goûts et du budget.

4. Contacter sa mutuelle pour s’informer sur la prise en charge de l’appareil à acquérir. Certaines mutuelles destinées aux seniors (lien vers rubrique 3, Mutuelle seniors, Pourquoi souscrire une complémentaire santé ?) offrent un bon niveau de remboursement des prothèses auditives.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Bien que l’hygiène bucco-dentaire soit largement entrée dans les mœurs (nombreuses actions de prévention sont menées dès le plus jeune âge) et limite considérablement les risques de perdre ses dents avec l’avancée en âge, il est primordial de conserver de bonnes habitudes de soins. Il est important de comprendre l’importance des soins dentaires pour une bonne santé bucco-dentaire.

La bouche est « la porte d’entrée du corps » et la santé buccale, le reflet de la santé générale.

QUELS SONT LES RISQUES ?

Une bouche saine permet de mastiquer correctement et donc de s’alimenter correctement. Au-delà de l’aspect « bonne santé », il y a également l’aspect de la qualité de vie et du plaisir de pouvoir manger tous les aliments que vous aimez. Négliger ces aspects peut mener à des problèmes plus importants, impactant même les soins dentaires de votre quotidien. Par exemple, la présence de signes d’infection sous un bridge dentaire peut nécessiter une intervention urgente.

Outre les caries, la gingivite (inflammation bénigne relativement facile à traiter) est tout à fait réversible mais si elle n’est pas prise au sérieux, elle peut évoluer vers une parodontite (les tissus de soutien de la dent sont touchés) et faire courir le risque de perdre des dents.

(IDÉE) Dès lors que vous devez effectuer des soins sophistiqués et coûteux comme la pose de couronne, d’inlay ou d’implant, il est important de vous renseigner sur les garanties proposées par les mutuelles seniors. Un bon suivi, incluant l’identification des problèmes buccaux à risque, est crucial.

COMMENT PRÉVENIR LES RISQUES ?

Voici quelques petits conseils, simples à suivre, pour limiter les lésions et pathologies dentaires :
Se brosser les dents 2 fois par jour, après chaque repas, avec une brosse à poils souples.
En cas de port de prothèses dentaires : les nettoyer et les faire tremper une heure dans un produit adapté pour éliminer les éventuelles bactéries.
Utiliser un dentifrice fluoré qui protège les gencives délicates.
Éliminer la plaque dentaire entre les dents avec du fil dentaire, particulièrement efficace.
Veiller à adopter une alimentation équilibrée, sans trop de sucres, susceptibles d’altérer la bonne santé des dents.
Effectuer un contrôle ou une visite chez un dentiste tous les 6 mois, plus souvent si vous avez une pathologie.

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Passé 40/50 ans, il devient difficile pour beaucoup de lire sans lunettes, presbytie oblige ! Le plus souvent, les troubles de la vue qui apparaissent avec l’âge peuvent être corrigés par le port de lunettes, de lentilles ou par la chirurgie.

Trois pathologies sont caractéristiques de l’avancée en âge : la cataracte (38 % des personnes de plus de 65 ans), le glaucome (touche 800 000 à 1 million de personnes dont la moitié ne se sait pas atteinte) et la DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age) qui se développe dès 50 ans.

QUELS SONT LES SIGNES DES TROUBLES DE LA VUE ?

1. Vous avez une vue « voilée », êtes facilement ébloui et rencontrez des difficultés à distinguer certaines couleurs qui deviennent plus fades ?

Le cristallin perd de sa transparence, une opacité se développe ce qui peut engendrer la cataracte. Totalement indolore, elle engendre une baisse significative de la vue.
2. Vous voyez des tâches floues ou noires sur des pages blanches ou les visages et vous avez l’impression que les lignes se déforment, vous manquez de lumière ou rencontrez des difficultés à percevoir les détails ?

La rétine se fragilise, un phénomène qui affecte la vision centrale et induit le développement d’une DMLA, 1ère cause de malvoyance chez les plus de 50 ans (Source : Association Valentin Haüi).
3. Vous avez l’impression de moins bien voir sur les côtés ou vous avez des antécédents de malvoyance familiaux ?

Une tension oculaire qui augmente entraîne la destruction du nerf optique à terme avec une altération de la vision périphérique qui diminue alors progressivement, c’est le glaucome. Le danger vient du fait que cette maladie ne présente aucun symptôme pendant son évolution : pas de douleur, ni baisse de vue, ni rougeur…
D’autres troubles ou une gêne peuvent également apparaître :

4. Vous voyez des mouches, des points noirs ou des toiles ?

Avec l’âge, le vitré peut se rétracter et se décoller de la rétine. L’apparition de corps flottants engendrent une vue entachée de mouches volantes.
5. La production et la qualité de vos larmes peuvent diminuer, conduisant ainsi à une augmentation de la sensibilité de l’œil et au syndrome de l’œil sec.

EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS ?

Dans tous les cas, et au moindre trouble de la vue, il est recommandé de consulter sans attendre un ophtalmologiste.

La cataracte s’opère le plus souvent en ambulatoire. Chaque année 400 000 personnes sont opérées de la cataracte ce qui en fait l’opération la plus pratiquée sur les personnes de plus de 60 ans (une personne sur deux.).

– La DMLA, lorsqu’elle est sèche ne dispose pas de traitement curatif mais demande des mesures d’hygiène alimentaire pour ralentir sa progression. Lorsqu’elle est humide, la DMLA nécessite des traitements pour stabiliser, voire améliorer la vue.

– Pour le traitement du glaucome, les traitements différent selon la forme de glaucome contractée et doivent être adaptés à chaque patient : collyre, laser ou chirurgie. Le glaucome ayant des conséquences tardives sur l’acuité visuelle, son dépistage est difficile. Il est souvent décelé lors du contrôle de la tension oculaire.

Une forte exposition aux UV, le tabac et l’alcool influent sur la baisse de l’acuité visuelle.

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